2. [Sans référent lex.] − MATH. z. Variable algébrique. Comme n est toujours plus grand que z (et même que 2 z), b est toujours un nombre positif différent de 0 (Leprince-Ringuet, Transmut. artif., 1933, p. 11).Montel suppose f(z) bornée et les conditions vérifiées presque partout (Hist. gén. sc., t. 3, vol. 2, 1964, p. 43).
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[P. anal. avec l'usage math.] ♦ [Désigne une pers. indéterm.] Soit x mort, que j'étais (dans une autre vie), a vivant et z, que je serai (...). Même s'il est vrai de quelque point de vue inintelligible qu'x, a et z ne font qu'un, cette vérité ne peut m'être qu'indifférente (G. Bataille, Exp. int., 1943, p. 38).Pour que le droit de propriété, le droit d'aubaine soit respecté dans A, il faut qu'il soit refusé à Z; par où l'on voit comme l'égalité des droits, séparée de l'égalité des conditions, peut être une vérité (Proudhon, Propriété, 1840, p. 293).
♦ [Recouvre une identité connue] En présence de pareils exemples, le cas de l'opulent Z... me devenait de plus en plus énigmatique (Renan, Souv. enf., 1883, p. 120).Sa remarque à propos de Z.: moins avancé que nous dans le dépouillement des sens, ou dans l'affranchissement de la matière; préférant, « comme un gros chanoine », la bonne chère aux femmes (Larbaud, Journal, 1934, p. 300).
− MATH. Z. Symbole représentant l'ensemble des entiers relatifs. Le sous-ensemble noté Z+(...) est l'ensemble des entiers relatifs positifs (GDEL).
− Z, adj. De catégorie inférieure, médiocre. Ce récit [La Sultane de C. Clément] (...) pourrait faire un bon scénario de film Z, un beau péplum « salammbiqué » pour adultes blasés (Le Nouvel Observateur, 17 oct. 1981, p. 111, col. 2).
− CHIM. ORG. Z. ,,Préfixe utilisé pour définir la conformation d'une double liaison`` (GDEL).