PSCH(I)T(T),(PSCHT, PSCHTT, PSCHIT, PSCHITT), onomat.

PSCH(I)T(T),(PSCHT, PSCHTT, PSCHIT, PSCHITT) onomat.
[Onomat. imitant ou évoquant le bruit léger, aigu, plus ou moins prolongé, d'un fluide qui jaillit, d'un liquide effervescent qui pétille] Champagne, bouteille d'eau gazeuse qui fait pschitt. Le célèbre « pschitt » de Perrier, le ouf de « ouf, merci Aspro » (...), appartiennent manifestement au langage oral, et sont faits pour être dits ou entendus : la radio est donc leur lieu par excellence (Weinand, Public. radioph.,1964, p. 5).
Empl. subst. masc., p. méton. Bruit ainsi évoqué. Le Palais Royal est incendié (...). On marche dans la fumée : (...) de tous côtés, on entend le pschit des pompes (Goncourt, Journal,1871, p. 817).
Prononc. : [pʃ(i)t]. Étymol. et Hist. 1870 pscht (Id., ibid., p. 550); 1871 pschit (Id., ibid., p. 817). Onomat., évoquant le bruit d'un fluide qui fuse.

D'autres mots du dictionnaire :

regardant, -ante | réchaud

quelques définitions tirées au hasard dans le dictionnaire : 

·le trésor de la langue française, un dictionnaire français·