HYMNOLOGIE, subst. fém.
Art de composer et d'étudier des hymnes; p. méton., ensemble des hymnes d'un rite ou d'une période donnée (d'apr. Foi t. 1 1968). On entretient, par une hymnologie savante, son goût [de Iahvé] pour les compliments, pour la gloire (Renan, Hist. peuple Isr., t. 4, 1892, p. 131).REM. Hymnologue, subst. masc.Auteur d'une hymnologie. Au fig. Il laissait flotter cette rêverie sur les vagues de louanges qui montaient du chœur vers lui, comme une marée de résignation. Il s'efforçait d'unir son âme triste à l'âme joyeuse de ces hymnologues perpétuels (Bloy, Désesp.,1886, p. 109).
Prononc. : [imnɔlɔ
ʒi]. Étymol. et Hist. 1. 1721 « récitation ou chant des hymnes » (Trév.); 2. 1832 « traité, discours sur les hymnes » (Raymond). Composé de hymne* et de -logie*. Bbg. Jourjon (A.). Rem. lexicogr. R. Philol. fr. 1917-1918, t. 30, p. 49 (s.v. hymnologue).
Hymnologue, subst. masc.Auteur d'une hymnologie. Au fig. Il laissait flotter cette rêverie sur les vagues de louanges qui montaient du chœur vers lui, comme une marée de résignation. Il s'efforçait d'unir son âme triste à l'âme joyeuse de ces hymnologues perpétuels (Bloy, Désesp.,1886, p. 109).