ENNÉ(A)-,(ENNÉ-, ENNÉA-) élément préf.
Élément préf. tiré du gr. ε
̓
ν
ν
ε
́
α « neuf », servant à former des mots sav. désignant des ensembles possédant neuf éléments. A.− BOTANIQUE : ennéandre , adj.[En parlant d'une fleur] « À neuf étamines » (Gatin 1924)
ennéandrie , subst. fém.« Classe du système de Linné, qui renferme les plantes dont la fleur a neuf étamines » (Ac. 1835-1878)
ennéagyne , adj.[En parlant d'un pistil] « À neuf carpelles ou styles » (Gatin 1924). Cf. Carrière, Encyclop. hortic., 1862, p. 192
ennéagynie , subst. fém.« État des plantes ennéagyniques » (Gatin 1924). Cf. Carrière, ibid.
ennéagynique , adj.[En parlant d'une fleur] « À neuf pistils » (Gatin 1924).
B.− CHIMIE : ennéahydrate , subst. masc.« Composé qui renferme neuf molécules d'eau de cristallisation » (Duval 1959).
C.− GÉOMÉTRIE : ennéagone* -
D.− MÉTRIQUE : énnéasyllabe , subst. masc.« Vers de neuf syllabes ». Les vagues ennéasyllabes mystérieux (Valéry, Lettres à qq.-uns,1945, p. 19).Rem. Cf. également ennéacentenaire, subst. masc. « Personne âgée de neuf cents ans ». Un ennéacentenaire, qui ne comptait que pour un résidu d'existence presque négligeable (Arnoux, Visite Mathus., 1961, p. 120).
ennéandre , adj.[En parlant d'une fleur] « À neuf étamines » (Gatin 1924)
ennéandrie , subst. fém.« Classe du système de Linné, qui renferme les plantes dont la fleur a neuf étamines » (Ac. 1835-1878)
ennéagyne , adj.[En parlant d'un pistil] « À neuf carpelles ou styles » (Gatin 1924). Cf. Carrière, Encyclop. hortic., 1862, p. 192
ennéagynie , subst. fém.« État des plantes ennéagyniques » (Gatin 1924). Cf. Carrière, ibid.
ennéagynique , adj.[En parlant d'une fleur] « À neuf pistils » (Gatin 1924).
ennéahydrate , subst. masc.« Composé qui renferme neuf molécules d'eau de cristallisation » (Duval 1959).
ennéagone* -
énnéasyllabe , subst. masc.« Vers de neuf syllabes ». Les vagues ennéasyllabes mystérieux (Valéry, Lettres à qq.-uns,1945, p. 19).Rem. Cf. également ennéacentenaire, subst. masc. « Personne âgée de neuf cents ans ». Un ennéacentenaire, qui ne comptait que pour un résidu d'existence presque négligeable (Arnoux, Visite Mathus., 1961, p. 120).