CONGÉDIEMENT, subst. masc.

CONGÉDIEMENT, subst. masc.
Action de congédier quelqu'un :
1. Le respect des prérogatives économiques de l'entrepreneur va assez loin, dans la jurisprudence française, pour que les congédiements reconnus comme abusifs se résolvent très généralement en dommages-intérêts. La réintégration est exceptionnelle. J.-D. Reynaud, Les Syndicats en France,1963, p. 206.
Lettre de congédiement. Acte par lequel un congé est signifié. Il ne signait lui-même que les lettres de réprimande ou de congédiement (Giraudoux, Bella,1926, p. 95).
P. métaph. :
2. (...) Ô la belle heure, la belle nuit des noces et comme elle fait penser à ces Épousailles de la fin des fins, lorsque après le congédiement des mondes et des jours, l'Agneau de Dieu, vêtu de sa Pourpre, viendra au-devant de l'Épouse inimaginable... Bloy, La Femme Pauvre,1897, p. 209.
Prononc. : [kɔ ̃ ʒedimɑ ̃]. Étymol. et Hist. 1838 (Ac. Compl. 1842). Dér. de congédier*; suff. -ment1*. Fréq. abs. littér. : 2.

Quelques définitions tirées au hasard dans le dictionnaire : 

·le trésor de la langue française, un dictionnaire français·