CÉNESTOPATHIE, subst. fém.
PSYCH. Altération plus ou moins généralisée de la cénesthésie dans laquelle le malade est conscient de l'irréalité de sa perception (
cf. P. Bourget,
Nos actes nous suivent, 1926, p. 23).
Étymol. et Hist. [1907 d'apr. Garnier-Del.]; 1926 (P. Bourget, loc. cit.). Composé de cénesth[ésie*] et de l'élément suff. -pathie (-pathe*, -ie*). Fréq. abs. littér. : 1.
DÉR. Cénestopathe, subst. masc.,psych. Sujet atteint de cénestopathie. Les algies des mélancoliques et des cénestopathes (P. Ravault, G. Vignon, Rhumatologie clinique,1956, p. 586).− 1reattest. 1946 (Ce que la France a apporté à la méd. dep. le début du XXes., p. 185); dér. régressif de cénestopathie.
Cénestopathe, subst. masc.,psych. Sujet atteint de cénestopathie. Les algies des mélancoliques et des cénestopathes (P. Ravault, G. Vignon, Rhumatologie clinique,1956, p. 586).− 1reattest. 1946 (Ce que la France a apporté à la méd. dep. le début du XXes., p. 185); dér. régressif de cénestopathie.