ARRIÈRE-COUSIN, INE, subst.

ARRIÈRE-COUSIN, INE, subst.
Cousin, cousine à un degré éloigné, petit cousin, petite cousine :
Ils avaient pour les soigner, outre la bonne, Justin, l'élève en pharmacie, un arrière-cousin de M. Homais que l'on avait pris dans la maison par charité. Flaubert, Madame Bovary,t. 2, 1857, p. 98.
ÉTYMOL. ET HIST. − 1752 (Voltaire, Lettre à d'Argental, 8 sept. d'apr. E. Ritter, Les Quatre dict. fr., 1905, 62 : Trente personnes trouvent que je n'ai pas dit assez de bien à leurs arrière-cousins); 1812 arrière-cousine (Jouy, L'Hermite de la Chaussée d'Antin, t. 2, p. 202 : Ce qui fut cause, par parenthèse, qu'aucune de mes arrière-cousines ne put entrer dans les chapitres d'Allemagne). Composé de arrière-* et de cousin(e)*.
STAT. − Fréq. abs. littér. : 6.
BBG. − Ritter (E.). Les Quatre dict. fr. Rem. lexicogr. B. de l'Inst. nat. gen. 1905, t. 36, p. 352.

Quelques définitions tirées au hasard dans le dictionnaire : 

·le trésor de la langue française, un dictionnaire français·