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P. ext., rare. Appuie-tête pour fauteuil de salon. Ces petites étoles ajourées au crochet qui jetaient sur le dos des fauteuils un manteau de roses blanches (Proust, Past. et mél.,1919, p. 232).Rem. On rencontre ds la docum. a) Étolé, ée, adj., rare. Revêtu d'une étole. Le paysage est joli; l'enfant qui tend les bras, le saint étolé et mitré, sont presque décidément campés (Huysmans, Art mod., 1883, p. 29). Attesté ds Lar. Lang. fr. b) Étolier, subst. masc., rare. Fabricant d'ornements liturgiques. Les chasubles n'ont pas ces formes de tablier de sapeur et elles n'arborent point sur les épaules du prêtre ce renflement, cette sorte de soufflet pareil à une oreille couchée d'ânon, qu'à Paris les étoliers fabriquent (Id., En route, t. 2, 1895, p. 220). Non attesté ds les dict. gén. du xixeet du xxesiècle.